Fils cadet de Frédérico Guglielmazzi et de Véronica Ponticelli, Vladimir passe une jeunesse très peu remarquable. Très sincère dans sa foi, il est un jour inspiré d’entreprendre un long voyage. Afin de rendre un véritable hommage au Céleste, il devait lui faire l’honneur d’apprécier toutes les parcelles de sa création. Toutes les hauteurs seraient gravies comme autant d’escaliers vers le firmament. Toutes les rues seraient visitées. Après avoir arpenté les dures steppes du Sarrenhor, baigné dans les eaux réconfortantes de Pyrae et exploré les pérennes forêts de Corrèse, le jeune pèlerin s’est enrichi de mille rencontres et s’est constitué une suite aussi loyale que variée. Fort de ses études des textes sacrés et de son contact authentique avec toutes les traditions célésiennes, il a visité deux fois les quatre coins du royaume en quête de nouvelles histoires et de nouvelles expériences.